règle entre ouverture géométrique et photométrique?

bouyour,

je voulais savoir s'il existait une règle quelconque à respecter pour le choix de l'ouverture photométrique ( celle indiquée sur l'apn, si j'ai bien compris ) en fonction de l'ouverture géométrique sélectionnée ( indiquée sur l'objectif ). Si oui, qu'apporte cette règle ? meilleur piqué?

Après avoir regardé en détail des photos/schémas de chambres reflex, j'ai un peu de mal à comprendre quel partie e l'appareil fera varier l'ouverture photométrique( je n'ai rien vu qui ressemblait à un diaphragme ou qui s'en approche ).

Par ailleurs, après avoir effectué quelques tests en faisant varier l'ouverture photométrique et en conservant une ouverture géométrique fixe, je n'ai pas constaté de variation de la PDC, uniquement de la luminosité. Est-ce que je me trompe ou est-ce correct?

merci pour vos éclaircissements.

Je pense qu'on pourrait mettre comme règle que o. photométrique = (o. géométrique - déperdition due à l'objectif).
La photométrique est donc toujours inférieure.

Mais si tu as un réflex, comme la lumière est mesurée à travers l'objectif, ça ne joue pas.

?

L'ouverture c'est le diaphragme dans l'objectif qui le fait, rien d'autre. Ou alors ai je mal compris ta question ?

Dross a écrit:

?
...Ou alors ai je mal compris ta question ?

Oui.

Voici une définition :

La bague de diaphragme a deux types de graduations : l'ouverture géométrique (N dans les calculs ou f sur les objectifs) ou relative (ouverture théorique mathématique), dont la valeur est obtenue par le rapport de la focale sur le diamètre de l'ouverture de l'iris. Ce diaphragme sert pour les calculs de profondeur de champ.
L'ouverture photométrique (T), qui tient compte de l'absorption des lentilles. C'est bien entendu cette dernière qui compte pour l'exposition du film. Il existe des diaphragmes en iris dont la forme est circulaire (Cooke), des diaphragmes en triagle (Zeiss), des diaphragmes en polygone.

Source.