Un moment de nuit, mon petit délire sans autre intention
Juste sorties de l'appareil, redimensionnées et posées.
Du blabla, bienvenu, mal venu, juste là..mon envie.
Un soir ...
De la lumière, du son, des gens..
Autre chose, enfin censé être autre chose une pseudo légèreté mais ....
Gravité, force centrifuge..
Centripède ...A'ta ris
LunaPorn..
Dans ta cage, dans ma bulle.
Je te frôle d'une vitrée, je te verse la monnaie.
Un tour de joie, court, mais déjà cela.
De monde.
Pas de règle des tiers, des cinquièmes, d'or, juste mon ombre, arrière..
Un tiers je prends, deux tiers je "donne"
Des pas, des pieds.
Des jeunes, le sol, leur être.
Les sens ..
Carburant, carburer à bloc.
Pied coupé, photo loupée.
Baste, posée.
Prend,
Prend la passerelle..
Tourne, tourne, dispose de ton estomac.
Centrifuge t il ?
Centrifuge telles .
A suivre..
Centrifugées.
Ma tête, rend la moi.
La prise, l'étau, le marteau me tamponne tympan.
Ce soir, mec, la tête, juste ma tête ..
S'il te plait..laisse moi secouer cela, juste un instant, mes deux mains.
Laisse moi demain..(nul et non embouti)
Onzé, onzé Josephine (pourri mais au moins j'oz..magique non)
Et ouai j'ai beau avoir une tronche de bol.
Je les fais tourner, se prendre la tête, lever leur cœur, les ..et les..
Mais elles se posent, et se reposent de leur séant, sur mon..bol.
Chanceux non...si tu savais le nombre de fesses, senti et ressenti..
Et je suis lumineux moi, tu me branches, j'illumine..
Et toi ...
T'écoutes quand je te parle ?
J'ai bien vu que tu me regardais, un mix de toi et de ton avatar.
Tard ? et alors ...dans d'autres lieux, cet arrêt temporel n'avait place.
Rha, ce temps, tant,t'enfuis déjà.
Bleu, tes yeux, bleu, mes bleus ..
Un index majeuré..ma foi ou mazette tiens.
Pas de tong.
pas de casquette.
pas de cellulaire.
Je suis dans les normes.
Un sentiment de bonheur, de plénitude m'envahit..enfin dans le rang.
Je suis iso 31000...
Ha non merde ! je suis iso variable 100-1000 iso..
Rha loupé !
Juste ..
Une jolie et brève rencontre.
des peluches, une humaine.
Une humaine au milieu des peluches, un flou.
Un tiré de langue, un sourire, une discussion, une ouverture photo.
Merci mademoiselle, merci encore du sourire.
Bon vent et bonnes peluches à toi.
Un nounours.
Pendu au plafond, cuisant sous des néons.
Na na na Néron !
Empereur du câble d'acier, bourré aléatoirement de matière tout aussi disparate.
Il avait une bonne bouille.
Il est ici.
Fin
Mar 2 Sep 2014 - 2:43
pour les textes, on n'a pas toujours le temps (ou le talent !) pour écrire, y'a beaucoup de bon, même du très bon, la série étant longue, c'est difficile de donner un avis détaillé, la gestion des couleurs est uniforme et la lumière ok, ça mérite vraiment qu'on s'y attarde 
